Commence ma vérité
Je me présente toute fois comme nu homme blessé
Je me nome Willston et mon cœur commence à rouiller
A ces quelques mots commence ma vérité
Trop de déceptions à moi que le temps viendra me gifler
 
Quitte à dire ; pour quels raisons les hommes se tuent entres eux
Quitte à dire pour quels raisons le sang faits effroi à mes yeux
Malheureux, je vous demande pourquoi les hommes meurent
Honteux, je vous demande pourquoi les hommes pleurent
D'ici, j'entends l'Afrique qui fait pleurer la musique
Pourquoi les hommes sont catastrophiques
Optimiste en mon esprit, je reste toujours blessé 
Par la vie ! Non ! Mais par les gestes abscons que l'homme fait
J'ai vue des villages entiers et des hommes êtres brûlés
Intelligents les cœurs des hommes sont aciérés
 
Jadis, il a fallut des guerres, des villages massacrés
Pour se dire que ce monde est en danger
A ces tueurs d'enfants ;
Combien de mal faut-il faire pour son dire que tous les hommes sont des serpents
Faut-il souffrir à sont pour savoir comment c'est dure de perdre ses siens
De vivre en redoutant les guerres et les maladies pour ses prochains
 
Une guerre pour savoir que la terre est ronde
Il a fallu donc des tombes pour savoir où était la bombe
 
A l'horizon les familles pauvres attendent un signe de nous
Et quand l'un d'eux meurent, je me dis que l'amour n'est pas digne de nous !!!
 
J'ai compris que le danger sorter des créations
Que les gens vivent mal depuis que les génies font des apparitions
 
Des histoires à étudier des tombes à creusés
Moi j'ai trop du mal à aimer
J'ai vue trop de famille nourrirent affamé
Trop de que leurs gouvernements les ont oubliés
Chaque reportage me dit que la souffrance venait des gouvernés
Ils ont compris que l'homme a la haine dans ses veines
Depuis qu'un enfant s'est fait jeter dans la SEINE
Mais même en vers les mômes l'homme devient ignorant
Je l'ai appris en regardant une rupture de couple pour un enfant
 
Oublions la discrimination, le racisme, la haine et les défauts
Un reportage sur un seul défaut, on et pas tous égaux
 
Jadis, marre de ne pas être à l'abrie du danger
De vivre que la souffrance
Pour être bien compris, il faut bafoué
Son enfance
Riche ou pauvre on pleure à chaque fois
L'adolescence me rappelle que le bonheur ne s'achète pas
Faire le pauvre c'est difficile,
Tout à changer quand je me suis fais arrêter je croyais que j'irai dans la belle ville
 
Peur de mon avenir 
Mais fier de mourir
Aprésent j'écris réel sans le sourire

Je dénonce

Je dénonce pour un jour de paix
Guerre pollution noirci le présent
Je dénonce pour un jour de paix
J'essai à nouveau je pleure à présent

La nuit la lune triste sourie en vers mon paysage
Prés de mes pages qui sont les réalités de mes phrases
Je souhaite et je rêve décrire un monde magnifique
Un monde amour dont le temps sonne comme la musique

Je pleure pour ce monde pathétique
Hanté par le malheur qui mythe
Oui l'Homme est doué pour faire du mal
Et la vie file au mouvement de nos balles
Oui ma guerre devient in paysage
Avec pour seul mirage
Des morts, des morts et des morts

Oui toi qui peints des visages d'anges
Oui toi qui rime l'amour mais pas la misère
La vie s'efface à nage
A la recherche d'autre terre

Je dénonce pour un jour de paix
J'éssai a nouveau, je pleure a présent

S'aimer

S'amer et non se détester
S'aimer et non se haire
S'amer et non s'insulter
S'aimer et non se nuire

S'aimer de tout notre cœur
S'aimer de toute notre âme
Aimons-nous, n'ayons pas peur
Car sans amour la vie est une flamme

S'aimer comme s'aiment les enfants
S'aimer comme s'aime le fœtus et sa mère
S'aimer comme s'aime les fleurs et le printemps
S'aimer car nous sommes tous frères et sœurs

S'aimer c'est donc partager et tendre la main
A ceux qui souffrent, à ceux qui souffrent
S'aimer c'est donc tisser ensemble un chemin
Tisser un bon chemin sans gouffre

Aimons-nous et ayons l'amour comme héritage
Pour que notre monde soit un monde au bon visage
Aimons-nous pour que l'humanité ait de l'espoir
L'espoir de voir nos félicités dans nos miroirs

S'ailer, s'aimer, s'aimer, s'aimer et s'aimer

Peinture d'outre-mer
 
Comme le royaume des Dieux
Elles sont de pierres précieuses et les flots se brisent contre elles
Sa nature est lustre et les rivières de jouvence y ruissellent
Tantôt sa clarté primitive caresse ses montagnes nuageuses
Tantôt ses formes et ces contextures restent mystérieuses
 
Les arcs-en-ciel d'éternité se déploient avec honneur
Sous le vent marin des outremer qui accueillent les astres
Les reflets  des étoiles s'instillent sur les eaux de milles couleurs
Ainsi les îles solitaires côtoient le soleil et ses rayons de nacres
 
Comme le royaume des Dieux
Le soleil brille, les quatre océans s'embrassent fidèlement
Les zéphyrs viennent de tous les coins décoiffés ces archipels
Et longtemps s'étant les horizons aux longs rayons du firmament
L'outre mère des profonde mer s'ouvre à tous comme un conte de merveille
 
L'amour au regard bleu propage le mythe du coquillage
Les différentes saisons se rencontrent et tous les êtres y se mélangent
Les différents langages se livrent au ciel pour en devenir lumière
Apresent le soleil meurt puis enlace sa douce Outre-mer