La vie réellement réel
Arc-en-ciel
Schamina ivre de bonheur ; se métamorphosa en arc-en-ciel
Gardant joyeusement dans son cœur toutes ses couleurs
Gladis, par l'appelle de Schamina la rejoignant toute belle
Avec leurs sourires rayonnants, elles ont effacées du ciel sa langueur
Par les oiseaux, le ciel tint ce beau langage
«Ah ! Bonjour mes jolies arc-en-ciel ; votre amitié est sage »
Sans mentir, le fond de vos yeux
Sont vernis de joie et ça me rend heureux
Vos prénoms comme deux mots qui s'aiment sont constellés
A ces mots, le ciel les considéra comme un éternel musé
Et pour montrer leurs cœurs fleuris
Elles y offrent à ce monde leurs gracieux couleurs avec harmonie
Elles prient la tristesse de ce monde pour la noyer à l'horizon
Comprenez qu'à deux l'amitié est bonne
Qu'à deux la vie est moins obscure
Qu'à deux les aurores de ce monde ont moins de fractures
Heureuse de cette poésie ; Schamina regarda les étoiles
Heureuse de cette poésie ; Gladis se vit toutes les deux sur une toile
Une toile, où on peut voir deux arcs-en-ciel
Une toile exposée à la place de la jaucombe au fond des yeux du ciel
- dont les couleurs nous montrent que des merveilles
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Poesie
Poésie
Parce que, tu m'évader, ô poésie je t'aime beaucouP
Obscur était mon cœur, maintenant y demeure la HalO
Exultant, tu me pousse à raconter pour exister, à ecrirE
Seul avec mes pensés, avec Hugo, m'apprenant ton artS
Impossible de t'oublier, ravivant mes jours ainsi que ma viE
Envoutante, tu m'a dirigé vers le bon chemin, celle de l'étoilE
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Questions
Questions ?
Que doit-on faire
Que doit-on faire quand devant la tété, on voit les hommes se tuer
Qu'à cause d'une religion des familles se font massacrés
Qu'avec des armes, certains cherche le pouvoir
Qu'à cause des guerres ; l'humanité manque d'espoir
Qu'à cause de l'argent : l'histoire de l'homme est noire
Quand devant la télé ; on voit les hommes se tuer ?
Que doit-on se dire ?
Que doit-on se dire
Lorsque les hommes défrichent et pollue la Terre
Lorsque les hommes s'insulte et oublie qu'on est des frères
Qu'avec le racisme ; les hommes se regardent avec un goût amer
Qu'à cause de nos rêves, les hommes sont des chimères
Lorsque les hommes défriches et pollue laTerre ?
Que doit-on se dire ?
Que doit-on se dire
Quand des familles meurent de guerres, de faim
Que depuis la création de l'homme, l'homme a du sang sur les mains
Lorsque les hommes peuvent tuer pour leurs prochains
Lorsque les hommes flétris l'amour
Quand la haine brille sur nous nuit et jours
Quand des familles meurent de guerres ?
Que doit-on se dire
Quad devant la télé ; on voit que les hommes sont enragés ?
Que doit-on se dire ?
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Mes yeux
Regardez au fond de mes yeux
Vous verrez un océan d'amour
Des perles qui te rendent heureux
Les requins ne sont que d'amour
Asseyez-vous au bord de mes pupilles
Vous verrez sauter des dauphins de rires
Les tortues viendront prés de vous en milles
Les méduses ne sont que de noirs souvenirs
Sautez et plongez dans mon océan
Vous sentirez les vagues aux doux caresses
Bronzez-vous car le soleil est celle du printemps
Jamais de noyades, jamais de tristesse
Jouez au volley sur le blanc mon oreille
Vous sentirez le sable sensuel et parfumés
Allongez-vous pour que les crabes viennent enchantés vos oreilles
N'ayez pas peur, ces crabes ne sont que de félicité
Tout au centre, le noir de mes yeux
Une île pour les gentilles y flottes
Séjournez-y pour être amoureux
L'amitié bateau vous emmène visité les cottes
Sur cette île aux sables blanc
Lancez l'amesons et pêchez-y des vannes
Le bon vivre y demeure pour cent ans
Mais si il pleut ce que je pleur pour évaporer ma haine
Regardez au fond de mes yeux
Vous verrez un océan d'amour
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Clochard
Clochard
Je reste souvent seul comme un être inexistant
Seul comme un condamné je suis dilapidé par l'eternel temps
Je reste souvent seul, assied sur le seuille de mon histoire
Les hommes me regardent, je crois que je suis leurs propres miroirs
Que dire si ce n'est que l'exagération et l'inspiration de ma plume
Je suis vous, vous êtes moi et je vous parle de l'amertume
Je suis un homme qui chante tristement avec l'étoile polaire
Je suis un homme qui hante ses beaux moments avec un goût amer
Je suis un homme qui parle seul, mais qui parle avec l'horizon
Effaré je me dis que l'homme se tue en toute saisons
Je suis un homme couvert de facettes tissées de multiples flammes
Faut dire que j'ai la même vie que celle de la vie de ceux d'Amsterdam
Toujours guidé par les étoiles, toujours enjôlé par les enfants
Toujours charmé par les femmes, toujours amoureux des temps des printemps
Je suis un homme plein de dissensions comme l'ancien vent
Je suis un homme vêtu de gloire avec le gout parfait du sang
-Je suis vous, vous êtes moi et vous savez que c'est vrai (2fois)
Je n'ai pas l'insulte facile ni le pouvoir de bien aimer
A chaque second, à chaque heure je suis vous, vous êtes moi
A croire qu'on a tous et qu'on fera toute la même voie
Je reste souvent seul, traumatiser par le violence de l'homme
Peut-être que moi-même j'ai la violence qui revient monotone
Je suis un homme affaiblie par la vie mais durci par un fardeau
En manque de bons amis je suis consolé par un flot de sanglots
Comme d'habitude, je me force de sourire pour nuire à mes noirs souvenirs
Comme d'habitude, je me force de construire avant de pouvoir partir
Je suis un homme qui rie aux éclats avec la joie qui me rend ivre
Je suis un homme qui rie aux éclats et qui sera fier de mourir
Je suis un homme qui pleure mais très peu
Je suis un homme qui pollue beaucoup peu
Je passe mon temps à dessiner sur des papiers perdus
A rêver à la bohème, prés de vos regards qui me trouvent inaperçu
Je suis un homme nié par le monde parfait, le monde moderne
Je suis un homme illuminé par les regards des hommes qui me rendent terne
Et si aujourd'hui, je ne suis qu'un homme à l'âme peu obscure
Et si aujourd'hui, je ne suis qu'un homme aux pensés impurs
-C'est que Je suis vous, vous êtes moi et vous savez que c'est vrai (2fois)
Je n'ai pas l'insulte facile ni le pouvoir de bien aimer
A chaque second, à chaque heure je suis vous, vous êtes moi
A croire qu'on a tous et qu'on fera toute la même voie
Je reste souvent seul, traumatiser par le violence de l'homme
Peut-être que moi-même j'ai la violence qui revient monotone
- Commentaires textes : Écrire