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Les vérités d'un monde obscur

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Littérature

 

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La vie réellement réel

Specteur d'horizon

 Devant l'horizon immense brillent les plongés des dauphins
Pas un seul bruit, seulement le soleil pressé de partir
Au loin les rêves s'éveillent et les papillons d'or volent vain
Ainsi la mer dorée est triste de voir le soleil mourir

Les chants mélodieux des corbeaux enveloppent le zénith tout entier
L'atmosphère se fait euphorie, tel qu'une aurore apparait en pavillon
Puis le ombres de grands arbres sont fraternels et murmurent aux passé
Les étoiles naissent en lot, en trainant devant moi leurs rayons

Près des cieux, l'affolement des mouettes se perdent dans son abime
Comme un soir d'automne où le ciel est une cité de paysage voilé
L'herbe caressante comme une Terre neuve où les usines ne fument
Les vagues en sont solitaire et radieux dans ce dortoir de Paix

Les bons souvenirs se baladent mains dans la main
Suivant la nuit splendide pour fleurir les promesses parfumées
Le soleil de minuit insomniaque pour une nature non voilé
S'installent avec l'aurore comme un large sourire et s'illumine au loin

Les voiliers séduisent par les quelque rares étoiles filantes
Aux lumières tombés en amour des grands secrets de l'Univers
Naviguent à l'inconnue aux rythme des anciens vers
Ainsi je rêve à ma fille de rêve dans cette nuit rafraichissante

Dans cette nuit bleue s'invoque l'heureuse clarté comme un brave chevalier
Qui porte longtemps les âmes des grands rosiers
La nature de vert tendre réclame l'infinie Empyrée
Et ses astres du firmament reviennent les épopées

Les longs chemins, quelques harmonies de sirènes viennent ensorceler
Mon corps allongé sur un tapis de mousse et de vent
Comme une bouteille à la mer, mon cœur bat au tempo du Pan
Haut si haut, les nuages sculpturaux reflètent dans cette mer dorée

Comme un peintre inspiré sous une nuit constellée
Les brillent sur ce tableau du grand artiste inconnue
Ainsi sa vision se perse et devient réel à l'imparfait
Avec son calepin au bord du rivage comme une scène de déjà vue

Les vagues se blessent mais toujours avec amour
Les algues s'agrippent aux sables comme un livre déchiré
L'horizon est très loin, la mer est calme et la nuit vient se posé
La lune aux corsages veloutés s'en va pour en refaire le tour

Le vent très lointain fait danser l'herbe de ce jardin somptueux
En même temps que les heures s'en aillent l'aire ravis
Le crépuscule timide enchante la raison et la folie
D'un même tint pareille, l'horizon est un spectacle savoureux

 

Jardin secret


Je sème au fond de mon cœur
De fleurs, des, fleurs , des fleurs

Avec ma conscience ; j'enterre ma haine
Et en retour poussent des pleines
Couvertes de roses, de jonquilles, de lilas
Qui me serrent affectueusement dans les bras
J'enterre ma colère, ma mélancolie
Et en retour se lève des arcs-en-ciel la nuit

Dans mon jardin secret, je plante toute les fleurs
Qui toujours dorlotent et mignotent mon cœur

L'églantine, la primevère
Etoilant mes nuits
Le songe, l'ancolie
Charmant ma vie
La glycine, la capucine
Me rappelant joliment ma Capucine
L'anémone, la saxifrage
Colorant mon paysage
l'alléluia, le pavot
Enchantant mes mots
Le muguet, l'orchidée
Vivifiant mes idées

 

Désordre véridque

Et  l'infernal
 
Et l'infernale flamme hante ce monde tragique
D'une étrange façon, comme le dernier jugement
Vaincu par le mal, nos âmes s'envolent vers un monde enférique
Sombre regard, mon aire fictive en est un tragique tourment
 
Et d'un grand frisson qui dévalorise nos rêves
Sur terre et sur les airs, la colère de Dieu nous caresse encore
L'être triste sans la rose parfait, ni l'âme aussi verte
La flamme éternelle engendre la félicité de nos envies d'or
 
Et de nos massacres de peuples plus proches que l'habitude
Avec des cris sinistres toujours plus harmonieux que la pluie
L'Homme plane sur l'orage, tel un arbre dans l'altitude
Jadis, je suis un homme qui dort avec l'orgueil dans son lit
 
Et face aux mensonges formidables qui trahissent nos cœurs
L'Homme désarmé, ainsi le clochard subit le damné
Certes le sang plus prompt, on en connait des pleurs
Jadis l'espoir avec le soutien ne sont jamais marié
 
Et tous coupable car on a tous les lourdes épées
Le cœur avec la joie mauvaise raisonnement ordinaire
A présent nos larmes de haine rendent trempé
Le crucifix du grand ouvrage éternel qui respire en pleure
 
Et l'infernale flamme songe à nous rendre lunatique
Et l'horreur est irréprochable aux lueurs réverbère
Et on se regarde avec amour avec dégoût mais cela revient fantastique
D'une étrange façon comme si on était tous de la même mère!
 

 

Tantôt rien que la verité

Tantôt rien que la vérité
 
Les douleurs amères résistent tantôt que les guerres en sont des spectacles joyeux
Tantôt le temps passe et l'idéal se moque et reste contre nature
Les cœurs égarés ; on chante nos oraisons pour les morts feux
Le commun meurt agonisé, bravement car on a plus la croix si pure
 
La douceur des belles chansons ravit les guerres justes pour une pose
Ainsi toujours le même refrain : des peuples meurent de faim
Tantôt nos gestes abscons nous déshonorent, telle qu'on reste peu de chose
La pensé obscur, on s'injure dignement pour en oublier la dévotion de l'éternelle butin
 
L'erreur est humaine mais la fureur des guerres, inconsciemment se perpétue
On cherche des nouvelles cruautés mortelles pour en faire de nouvelles victoires
Le monde se divertit, les combats religieux font audiences, l'amour est le reflet de nos miroirs
Tantôt le commun des mortels ne parjure pas mais par accidents il le fait. Le sais-tu ?
 
La rumeur d'Homme assassin valorise les guerres en une longue durée de mélancolie
Les œuvres amour n'adoucis point nos désirs car on reste des HOMO HOMINI LUPUS
Les milles et une nuit nous emmène à l'imparfait, infiniment dans la fantaisie
La nuit meurt et le jour vit ; et nos mains restent coupables à fier à lux
 

 

Au fond


Les villages de mon cœur sont construits de langueurs
Dont les maisons sont habitées par des chimères
Et les pommes de mon jardin sont d'un goût amer

Pourquoi mon cœur refuse tout regard enjôleur
Je pirogue pour que mes rêves soient des merveilles
Je me force de rire pour que dans mes yeux gitent des arc-en-ciel

Je forge au fond de mes mots, un amour parfait
Essayant d'avoir un bon fond pour plaire
Mais mon cœur est un océan de pleurs
Qui noie toute aventure et noie toute espoir d'aimer
a
Votre regard si charmant invoque en moi la joie
Etrangement flétris et terne aux abords de vos sourires
Vos rires vernis d'espoir me serrent tendrement dans les bras
Alors je casse les portes de mon cœur pour me voir sourire

Les villages de mon cœur sont construits de langueurs !

 

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